Nautic : comment interpréter l’édition 2019 du rendez-vous parisien de la plaisance ?

Entre désaffection pour les salons et grève contre la réforme des retraites, l’édition 2019 du Nautic est délicate à analyser. Voici néanmoins une vision la plus objective possible.

Un contexte économique et social délicat
Après les gilets jaunes en 2018, le Nautic de Paris coïncide en 2019 avec les grèves massives, en particulier dans les transports, contre la réforme des retraites. La succession de ces événements n’est évidemment pas favorable au rendez-vous parisien de la plaisance, mais elle ne doit pas éclipser une tendance plus générale de l’industrie des salons.

Moins de bateaux et plus d’espace
Le hall 1, qui accueille les voiliers, a vu la largeur de ses allées grandir. Des marques importantes, comme les catamarans Lagoon, ou l’ensemble du groupe Grand-Large Yachting, ont fait le choix de n’exposer aucun bateau. L’espace dédié aux motoristes s’est lui aussi réduit, tandis que les équipementiers occupaient une part toujours plus faible du hall 2,1.

2020, une opportunité de changement
Les travaux prévus au parc des expositions de la Porte de Versailles vont contraindre le salon à changer d’organisation. La nouvelle disposition, dans des halls différents, permettra-t-elle au salon de se réinventer pour attirer de nouveaux exposants et de nouveaux visiteurs ? L’enjeu est de taille, tandis que certains exposants annonçaient déjà ne pas vouloir revenir l’an prochain.

Source : BoatIndustry

 

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